• Voici donc une vidéo assez courte qui explique de façon assez simple la dyspraxie et donne quelques pistes pour les rééducations enfin des conseils aussi

     

    Adrien Honnons a fait d'autres  vidéos qui explique la dysphasie, la dyslexie, l'hyperactivité... ici : http://adrienhonnons.com/

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  • Qu’est ce que la dyspraxie ? 

    La dyspraxie est un trouble de l'acquisition de la coordination du geste, souvent associé à un trouble du regard ou de la construction de l'espace, parfois à un trouble bucco-facial (des problèmes de déglutition ou de langage).

    Origine
    Les formes de dyspraxie sont variées. Certaines sont liées à des accidents à la naissance ou à un trouble développemental atteignant les zones du cerveau impliquées dans l’apprentissage.

    Fréquence
    Il n’y a pas de chiffres précis.

    Age de diagnostic
    Il se fait généralement chez les jeunes enfants. (plus le diagnostic est tôt mieux c'est)

    Symptômes
    Ils sont variables. L’enfant dyspraxique est maladroit, renverse et casse ce qu’il touche. Il est difficile pour lui de coordonner ses gestes. Il se cogne, marche de manière maladroite, il tombe souvent. Il a du mal à se concentrer en classe et à écrire, à se servir d’une règle, de ciseaux, il est lent dans son travail. Les dyspraxiques n’aiment pas jouer aux jeux de construction.
    Certains ont des difficultés à parler.

    Traitements
    Ils varient selon les cas. De manière générale, des séances de rééducation (psychomotriciens, ergothérapeute, orthoptie (enfin en tout cas pour certains dyspraxique visuospatiale) et d’orthophonie permettent aux enfants dyspraxiques de faire des progrès. Il est possible également d’effectuer un suivi ophtalmologique.
    Des exercices quotidiens de coordination permettront à l’enfant atteint de dyspraxie de mieux contrôler ses gestes.

    En rose mes petits commentaires

    voici le lien du site d'autres infos s'y trouvent http://www.magazine-declic.com/definition-dyspraxie.html

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  • La dyspraxie est une altération de la capacité à exécuter de manière automatique des mouvements déterminés, en l'absence de toute paralysie ou parésie des muscles impliqués dans le mouvement. Le sujet doit contrôler volontairement chacun de ses gestes, ce qui est très coûteux en attention, et rend la coordination des mouvements complexes de la vie courante extrêmement difficile, donc rarement obtenue.

    Vous trouvez ça compliqué, c'est le cas pour moi aussi  

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    C'est ça... mais vous avez compris ce charabia. Si oui vous pouvez candidater chez Mensa qui contrôlera votre HQI! Sinon rien de grave je vous rassure. Volez de groupes en blogs, de sites en vidéos et de témoignages en photos. En quelques temps vous comprendrez de quoi on parle et vous verrez certainement la vie autrement. Bon voyage.

     

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  • La dyspraxie est un trouble du développement neurologique qui affecte la capacité de planifier, d’exécuter et d’automatiser des séquences appropriées de mouvements aboutissant à la réalisation d’un geste pour interagir avec le milieu environnant. 

    Définition neurologique :  La dyspraxie est un trouble affectant les processus cognitifs qui permettent de planifier, d’exécuter et d’automatiser des mouvements volontaires, appris, effectués dans un but précis et permettant une interaction adéquate avec l’environnement. Ce problème survient en l’absence de déficit moteur ou sensitif primaire, de troubles du tonus musculaire, de trouble de la compréhension. 

    Définition fonctionnelle :  La dyspraxie est un trouble de l’acquisition des séquences de mouvements qui aboutissent à la réalisation d’un geste orienté vers un but. Ce problème entraîne des difficultés plus ou moins importantes dans l’élaboration et l’automatisation des gestes volontaires. que ce soit dans l’accomplissement des  5gestes de la vie quotidienne, ou ceux qui sont requis dans les apprentissages scolaires ou professionnels. 

    Ce que la dyspraxie n’est pas :  

    • une paralysie cérébrale ou une infirmité cérébrale, 
    • une déficience intellectuelle, 
    • un trouble envahissant du développement ou du comportement. 

    Selon Mesdames Flessas et Lussier (2001),

    les différents problèmes rencontrés par les enfants dyspraxiques sont :

    •  l’intégration sensorielle des informations visuelles, auditives et tactiles,
    •  la conceptualisation symbolique du geste, 
    •  la planification idéatoire et l’anticipation,
    •  la planification et la programmation motrice, ainsi que l’organisation de la séquence,
    •  l’exécution motrice, les boucles de rétroaction visuospatiales, proprioceptives et kinesthésiques. 

    Ces informations et plus encore là : http://www.coridys.asso.fr/pages/base_doc/dyspraxieconte.pdf

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  • La dyspraxie est ce que l’on appelle couramment une maladresse pathologique.

     En ce qui concerne la prévalence de la dyspraxie, les chiffres sont élevés: 5 à 7% des enfants de 5 à 11 ans selon le haut comité de santé publique.

     Ce sont des enfants pathologiquement maladroits : ils se cognent, ils tombent, ils renversent, ils cassent, ils ont du mal à manger proprement car ils en mettent de partout et parce que le maniement des couverts est compliqué pour eux, ils renversent leur verre, ils ont des difficultés à s’habiller (vêtement à l’envers, lacet, fermeture éclair, bouton,…), ils ne retrouvent pas leur classe après avoir été porter un mot à la directrice, ne collent pas une feuille correctement, n’arrivent pas facilement à détacher la gommette de son support et ne la collent pas vraiment au bon endroit, ne colorient pas sans dépasser même en faisant attention, n’arrive pas à découper sur une ligne, se perdent dans les couloirs, ont du mal à envoyer un ballon dans la bonne direction, ont du mal à prendre à nager, faire du vélo sans roulettes, n’aiment pas faire des puzzles, ni des jeux de construction…

    Ils n’ont pas forcément toutes ses caractéristiques, certains arrivent à faire du vélo, d’autres des rollers… mais tous sont maladroits plus que la normale des enfants de leur âge.

     On a même l’impression qu’ils le font exprès. En effet, hier, cet enfant là a réussi à s’habiller tout seul hier… il en est donc capable… quand il veut, il peut. Cette variation des réussites et des échecs interrogent aussi et pourtant, elle aussi fait bien partie du tableau et laissent espérer quelquefois les parents qu’il suffit que cet enfant grandisse un peu ou qu’un déclic va venir.

     La dyspraxie est de la famille des dys.

    C’est donc un dysfonctionnement cérébral qui touche la praxie (le geste). Un geste intentionnel est fait pour interagir avec notre environnement.

    Ex : prendre quelque chose.

    Pour le réaliser, on programme ce geste dans notre tête. On programme pour que ce geste soit efficace.

    Chez les dyspraxiques, le geste est intentionnel mais ne se réalise pas ou laborieusement, de manière malhabile, fluctuant allant de la réussite exceptionnelle et non reproductible (qui fait parfois dire aux différents intervenants «quand il veut, il peut » !) à toutes sortes d’échecs par essais et erreurs.

     La dyspraxie est un trouble développemental, c’est-à-dire qui n’est pas acquis (donc sans antécédent neurologique).

    On peut être IMC et dyspraxique, mais alors on ne dira pas qu’elle est développementale.

    Voici le site : http://www.dysmoi.fr/ ou j'ai trouvé cette définition et d'autres informations  

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